Chennai - Nakhon Ratchasima (Thailande)

Petit pincement au coeur lorsque l'on voit les collegues disparaitre au niveau de la salle d'embarquement, c'est bien passe vite tout ca. On saute dans le premier touc touc et on on rentre a l'hotel sans dire un mot.

Avant notre vol on passe chez le berber et on se met un film d'action indien dans un enorme centre commercial. Le film "Race 2" est en indien ou plutot en Tamul, on ne comprend evidemment pas grand chose, assez tout de meme pour voir que ca cause trahison. Mais ce n'est pas le plus important. Les scenes de poursuites sont vraiment droles et les passages de danse sont entrainants; le style est bien particulier, le tout fait "kitsch".

On s'envole le 4 fevrier a 22h30, l'emballage des velos se fait sans trop de problemes, ce n'est pas agreable mais ca le fait ! Nos billets sont en premiere classe (4 euros de plus) mais les places n'ont absolument pas la tronche de premiere classe. Arrivee a Bangkok a 3h00 heure locale. Nos velos n'ont cette fois aucune blessure. Dehors il fait aussi chaud qu'en partant de Chennai en revanche l'air est bien plus humide, bien plus etouffant, on le sent direct. On enchaine 40 bornes jusqu'au centre, premier contact avec les thais, ils sont tous tres souriants et les filles ne sont pas vilaines. L'accent est une decouverte, par exemple pour dire "Pa" ils diront "Paaaaaa", on va avoir du mal. On remarque aussi rapidement la presence des touc touc, plus colores, plus puissants, plus longs mais certainement moins charmants que les touc touc indiens. Le pays nous parait de suite un peu comme le notre, venant d'Inde il nous parait "facile".

On connait l'existence d'une rue qui semble animee, "Khao San Road", on s'y jette, c'est noir de blancs, on s'achete quelques guides, (les 3/4 sont des copies, les cartes sont donc illisibles sur beaucoup d'entre eux, les seuls originaux sont des occasions) et on apercoit le panneau "budget guesthouse". Cuisine commune, toilettes et douches communes, et on enleve ses chaussures avant de grimper a l'etage. On dort toute l'aprem.

On ne decolera pas du quartier pendant 7 jours. La rue fait environ 300 metres, des boutiques, des bars, des clubs, des stands, dans tout les sens. La rue ne s'arrete jamais, a 12h, 16h, 2h, autant de monde (dans les heures un peu plus tardives ca se vide evidemment mais un nombre completement fou de jeunes prostituees debarquent et aguichent le moindre blanc). A cote de notre hotel, un immense bar passe du son pleine balle a toutes les heures, on a de la chance on ne comptait pas specialement dormir. On passe la semaine a faire la fiesta, on ne visite pas vraiment bangkok. Je dis que nous ne decampons pas de Khao San road mais en fait nous faisons pas mal de soirees a Sukhumvit street, on cherchait ou aller sur internet, c'est a chaque fois ici que l'on tombait. Durant cette semaine on decouvre le 7-Eleven, petit market formidable, ouvert H24, on peut y acheter de la bouffe chaude (ils y passent un coup de micro-onde), des grands sodas, etc. C'est aussi a Khao San Road ou on decouvre la fameuse "Chang", biere thailandaise la plus connu, ils en vendent partout. Un "matin" Robin se reveille et me lance "P***** je me suis fait tirer toutes mes cartes !", son parteufeuille est  grand ouvert sur le sol, exepte son passport tout a disparu. Total des gains= 10 000 bats, carte bleu, carte assurance maladie et le reste il ne sait pas. Quelqu'un est rentre dans la chambre et s'est fait plaisir, lorsqu'on rentrait se coucher on ne faisait absolument pas attention, on a dormit plus d'une fois la porte grande ouverte. Desormais on y pensera !

Au niveau de la cuisine pas trop de variete cette semaine, on ne mange que des pad thai egg+chicken que l'on mange a la baguette. On ne teste pas les brochettes de scorpions, de cafards ou de je ne sais quoi encore, on garde ca pour plus tard. 

On s'offre toute fois un "massage" des pieds/tibias oeuvre par des poissons (ils mangent la peau morte), - a Khao san road evidemment- on releve les pantalons, plongent les pieds dans le petit bassin et on les releve 5 secondes apres. La sensation est tres desagreable, on a la veritable impression de se faire manger. Apres 5 min ca devient reposant. On ressort avec des pieds legers. Toujours a Khao san road on se fait un "thai massage" qui se revele etre un massage a la turc, par un masseur, et vas y que je te tords par ci par la. Robin finit casse en deux. 

Robin profite d'etre a Bangkok pour faire changer sa roue arriere totalement HS, il a de la chance et assiste a un combat de box thai gratuit, juste a cote d'un immence centre commercial. Pendant ce temps la je me promene vers les canaux et le long de la Mae Nam Chao Phraya. 

On finit par plier les gaules le 12 fevrier, c'est avec grand plaisir que j'enfourche mon bolide, la rue commencait a serieusement m'etouffer. 

On atterit a Ayutthaya le soir meme, le lendemain nous faisons quelques ruines, ca ne me botte pas plus que ca, probablement la fatigue. Robin par contre trouve cela super. Nous faisons un tour au marche flottant pres de la ville, pas de ventes de legumes ou fruits ce sont des boutiques de vetements et de babioles, mais le site est superbe, le lieu est tres bien ammenage, l'endroit est harmonieux. Ca ressemble a un bassin avec des allees en bois flottantes mais ce sont bien des canaux. On assiste aussi a la baignade d'un elelphant.

Nous tracons ensuite sur le Mekong (on comptait le suivre), mais le parc naturel Khao Yai en decidera autrement. On paye l'entree 400 bats mais on s'apercoit sur le coup que notre route ne passe pas dans le parc, forcement on prefere continuer dans le parc que d'en ressortir...

Le paysage change immediatement une fois la porte franchie, alors que l'on roulait a travers champs dans la plaine, c'est maintenant la jungle qui s'offre a nous. On commence par un petit echauffement, une cote de 6 kms avec des pourcentages completement dingues, heureusement ca ne monte pas tout le temps, il y a quelques faux plats pour souffler.

On arrive au "view point" totalement exploses, le soleil n'a pas du nous aider. On recommence a en chier et on est ravit.

La route n'est pas tres large, goudron bien lisse, elle est parfaite. Le seul bruit que nous percevons est ceux des oiseaux. On rejoint le "visitor center" vers 14h, on fait le plein de nourriture et on repart vers 16h. Faut se mefier niveau stock, les points de ravitaillement sont relativement espaces. Apres quelques erreurs d'interpretation et donc apres avoir remontes quelques cotes en sens inverse on trouve finalement le "campsite" a la tombee de la nuit. 30 bats par tete (moins d'un euro).

Le lendemain nous pedalons vers la Nam tok Haew Suwat et nous reprenons la route, toujours en enchainant les cotes et les descentes qui en 3 secondes font monter les compteurs a 60km/h.

Juste avant de sortir du parc, une autre casacade a voir (la Nam Tok Haew Narok), mais le site est completement paralyse par une horde de jeunes vetnamiens, (facile 500), ils etaient peut etre bien chinois ou pourquoi pas thais, on ne sait pas. Robin refuse de s'y frotter, moi j'ai quand meme envie d'aller voir la cascade, sur le papier elle est impressionnante. Il part donc a un petit rythme pendant que j'essaie de la rejoindre, le trajet est insupportable mais la chute d'eau est superbe, elle fait environ 50m, l'endroit est tres impressionnant, le point de vue est a mi hauteur de la chute d'eau. Pas de chance la batterie de mon appareil photo est vide, impossible de prendre la moindre photo.

On se retrouve avec Rob en dehors du parc, on aurait bien aime y rester un peu plus. Nous de voyons ni le tigre ni le cobra mais beaucoup de singes et enormement de daims.

A la tombee de la nuit nous avons fait 75 km mais nous savons qu'a Bangkok le lendemain il y a gros concert, le truc c'est qu'il y 170 km jusqu'a Nakhon Ratchasima (la ou on peut prendre un bus pour Bangkok). On se met une grande Chang et on part, prets a envoyer toute la nuit. Les 7-Eleven rythment notre progression, on fait des troncons de 20 de 30 puis 40 kms. Vers 1h du matin une bonne cote de 5 km nous seche un peu, je ne sais pas trop comment on fait mais on grimpe, totalement deconnectes. Nous arrivons a Nakhon Racthasima a 4h du matin, avec 241 km au compteur. Un peu avant le centre ville, on se pause dans une station service, un tour au 7-Eleven et on dort a cote d'un banc.

- J'oublie un detail, on n'aimerait pas autant le 7-Eleven sans sa climatisation, un petit tour a l'interieur et ca reboost le moral.- A 8h on se fait degager par un flic mais avec aimabilite, faut dire qu'on devait vraiment faire dechet.

On file au cyber pour recopier l'adresse du concert, on y reste 2 heures avant de se rendre compte que l'on ne connait pas l'heure; et voila c'est un autre echec, heure du concert: 13h/16h. Il est midi et il faut 3h pour rejoindre Bangkok, on est fait comme des rats. On se prend un hotel et on se moque de nous meme.

On va prendre direction plein nord et bifurquer vers le Mekong, cote ouest, si on a le temps, avant de rejoindre Vientiane.

Va falloir serieusement qu'on se remette au rythme d'un article par semaine, parce que la sincerement c'est long !

Petite pensee pour l'Inde

Les autres photos ici!

Bangalore - Chennai

  C'est fini. Apres deux semaines intenses de decouvertes, de voyage et de rencontres c` est deja fini.
Vendredi 18 janvier, a peine sortis de partiels nous voila deja en route, le pere de Romain et Martin nous emmene jusqu`a roissy sous une neige battante. Gros suspense. Decollera, decollera pas ?  Mais 15 heures plus tard, ca y est nous sommes a Bangalore. Une fois sortis de l` aeroport nous apercevons 2 baroudeurs hirsutes a l` odeur quelque peu suspecte : Vic et Robin pancarte a la main qui affiche "6 paires de roues". Moment sympa de retrouvailles, negociations du prix du taxi et zou direction l` hotel. Ce qui nous frappe le plus en arrivant c' est le desordre monstre qui regne dans cette ville de plus de 5 millions d' habitants. Nos 2 amis nous ont bichone, un hotel avec petit dej compris nous attend ! Un peu desorientes nous decidons de feter l' evenement autour d' une petite "Commando" l' ultra strong beer locale.

  Le lendemain etait le jour tant attendus par nos deux comperes : la recherche de nos montures. Apres des heures d' errance Vic deniche la perle rare : Hero Cycle qui nous propose 4 velos munis, comble du luxe, de 6 vitesses. 4 heures plus tard ( et un paquet de coups de marteau ) nos bolides sont enfin prets et ce n` est pas sans crainte que nous les enfourchons pour la premiere fois. Mais bon, on s' y fait vite et les indiens, rois du klaxon, nous maintiennent en permanence sur nos gardes.

  Lundi, fin pret pour le depart nous sommes l' attraction de l'hotel et la photo se fait sous la direction des policiers indiens qui stoppent la circulation pour nous permettre le meilleur angle. Nous roulons une cinquantaine de km sur la route de Krishnagiri et faisons halte a Hosur. Premiere grosse confrontation a la misere de ce pays : le probable cadavre d' un homme qui gisait entre deux voies d' autoroute. Nous degotons un petit relais chateau avec vue sur la voie rapide et, excusez nous du peu : menage en extra ! Jib se resigne a demander si le petit dej est compris.

  Le mardi nous reserve notre premier pepin : Martin creve et nous passons une bonne heure en plein caniard a reparer, aide il faut bien le dire par un petit indien a tournevis. Cette pause impromptue nous permis de rencontrer Heinrich l' Allemand ( on n' est pas vraiment sur de son nom mais bon ca lui allait bien ). Il a suivi a peu pres la meme route que Vic et Robin mais bifurquera vers l' Australie a Chennai (son blog: www.radreisender.de ). La rigueur et l' equipememt de notre compagnon teuton fut tres efficace pour trouver une petite adresse cette fois bien sympa malgre un reveil au groupe electrogene qui manqua, par la meme occasion, de nous asphyxier. Le soir apres avoir devalise le liquor shop local ( qui ressemblait bien plus a un entrepot clandestin ) nous sirotons nos quelques commandos (a servir bien chaudes ) dans la chaleur douillette de notre petite chambre. A noter que Victo tombe en panne de batterie en plein milieu de son rasage mensuel, ce qui lui valut le surnom de 'double face' et les bidonnements de notre ami Heinrich.

Rencontre avec l'Allemand

  Au petit matin alors qu' Heinrich avait decampe depuis bien longtemps nous mettons le cap sur Tiruvannamalai. Nous quittons pour la premiere fois l' autoroute et roulons sur une petite nationale de campagne, un soulagememt pour nos tympans et enfin un decor plus burlesque : riziere, palmiers et en toile de fond quelques montagnes semblant emerger de nulle part. A la tombee de la nuit nous installons notre campement le long de la route ce qui nous angoisse un peu, non par peur des tigres ou cobra mais plutot par l' absence de sanitaire avoisinant. Petit point hygiene a l' adresse de nos meres respectives : la trousse a pharmacie ( qui contient facilement de quoi sauver la moitie de l' Inde ) reviendra pleine a Limoges et pour causes aucun de nous n' a ete malades. Plutot solides les petits limougeauds !

  Apres une nuit plutot pas terrible et 70 bornes dans les pattes nous debarquons a Tiruvannamalai. C' est ce soir la que debuta la longue serie d' echecs de Romain au chi-fou-mi ( pierre-feuille-ciseaux ) censee determiner qui dormira sur un lit et qui dormira par terre en compagnie des cafards. La journee suivante est dediee a la visite des temples de Tiru. Assez impressionnant. Nous eumes meme la chance de nous faire benir par un elephant a grands coups de trompe monnayant quelques roupies. Nous ressortons en paix avec nous meme, un point rouge entre les yeux symbolisant le 3eme oeil destructeur de Shiva.

  Il est temps de reprendre la route, sans la pompe, judicieusement perdue par JB. Nous roulons pour la premiere fois de nuit, l` objectif etant d' atteindre Gingee au plus vite. A peine arrive Rikou assaille le proprio de l' hotel par un "how much ?" assassin afin d' entamer sereinement les negociations. Nous sommes acceuillis comme des princes et la suite nuptiale nous est attribuee. Avec un lit pour 6 tout de meme. Romain redort par terre.

  Le samedi 26, jour de la fete de la republique nous nous lancons dans l' ascension du fort de Gingee jalousemement garde par une armee de singe. 500 metres de denivelle et 1350 marches, nous ne sommes pas decus : la vue est superbe. La nuit sera courte, nous sommes reveille a 5h par du gros son Indy. Nous ne comprenons definitivement plus rien a ce pays : les bars ferment a 23h et la musique retentit plein pot au petit matin.

  Nous retrouvons l' autoroute sur le chemin qui nous mene a Pondichery. Ca cogne dur, la route est monotone, un peloton de tete se detache, compose de nos deux heros et du Jib qui suit comme il peut le ryhtme infernale. Martin et Elric attendent Romain qui, apres avoir frole la crise cardiaque, frole la crise de nerf. C' est pas le moment de chambrer et les sourires sont dissimules tant bien que mal. Les 3 gugusses de tete subiront d' ailleurs les foudres de Romain, remonte comme une pendule. Pondy marque le tournant du voyage et la decouverte du golf du Bengale. Le soir nous degotons dans le routard un resto francais le Satsanga. Veritable explosion de saveurs pour Vic et Robin qui retrouvent avec emotion les joies du pate, steak et autres frenche fries. Malheuresement c' est "dry day" seul jour de l' annee ou l' alcool est prohibe en Inde. Le bordeaux nous passe sous le nez.



  Le jour suivant on enfourche les becanes en debut de soiree apres une apres midi d`une efficacite epoustouflante ( sieste, visite echec..) et on est oblige de rouler de nuit vers Mahabalipuram. En souhaitant longer la cote nous traversons les quatiers pauvres de Pondichery. Apres une dizaine de kilometres et de patisseries englouties nous denichons une plage deserte parfaite pour nous accueillir pour la nuit. On en profite pour se baigner. L`eau est a 27.

  Mardi, on decide de bouffer du km et on tombe les 90 bornes qui nous separent de Mahabalipuram. ( on sait bien que Vic et Robin vous on habitue a mieux mais pour nous c' est deja un petit exploit en temoigne l' etat des fesses de jb a la fin de la journee ). L' ambiance de Maha nous plait tout de suite, on dirait le lieu de pelerinage de tous les vieux hippies d' europe. Petite dedicace a Bob, le serveur de la GuestHouse qui nous a bichone.
On passe toute la journee du lendemain a se balader et a visiter les quelques temples ( certains datent du 7eme siecle ! ) et parc de Maha. Au milieu du parc un enorme bloc de granit siege dans une position plutot instable : le Krishna butter ball. 
Jeudi, on joue les touristes : plage et shopping avant de mettre les voiles, on roule quelques km et on etablit notre bivouac sur la plage.

  Le matin, apres 1 km Jib se rend compte que son pneu est completement a plat, on pousse jusqu`a la crocodile farm, des centaines de croco nous attendent, malheureusement ces gros tas passent leur temps a dormir, pas du grand spectacle ! La vieille chambre a air de Martin, etant en meilleur etat que celle de Jib, nous sauve la mise. Feu sur Chennai, on retombe dans cette bonne vieille circulation qui nous manquait depuis Bangalore. Apres avoir trouve un hotel, on s`active pour feter notre derniere soiree, on se fait beau et propres, Robin sort sa plus belle chemise, tout ca dans l`espoir de trouver un bar/boite ou s`ambiancer ! Apres quelques verres partages tous les six sur la plage (avec un bon avertissement des flics au megaphone nous priant de degager), on arrete tous les touc-touc : "nightclub ??", apres une longue serie d'echec on se rend compte qu'il est deja minuit, les indiens sont couches.. (1,2 milliard d'indiens et pas un pour faire la fete dignement, JB n'en revient pas). On se reconcilie autour de plats de riz et de nouilles puis on rentre miserablement nous coucher.

  Pour conclure l' Inde est un pays etonnant, les gens sont chaleureux, souriant et incroyablement curieux et conservent une culture vraiment a part. On en a pris plein les oreilles, plein le nez mais surtout plein les yeux et franchement on aimerais bien prolonger un peu l' aventure. Afin de rassurer tout le monde, Vic et Robin se portent comme des charmes et malgres les petits desagrement qu' offrent parfois les voyages ils sont toujours plein d' energie et de curiosite. Ca a ete un vrai plaisir de les suivre pendant ces deux semaines et on les remercie chaudement a travers cet article !

Post Scriptum : on ne se rend pas bien compte a quel point il est difficle de rediger un article et malgre le fait qu'on soit 4 le compteur affiche maintenant 3h30 de connexion. On espere que la lecture de cet article ne vous aura pas trop decu, il est certainement trop exhaustif et la syntaxe n' est pas parfaite mais il faut dire que la barre est elevee et que ces 2 arsouilles ont du talent.

Post scriptum 2: Sur le départ, l'émotion nous fait oublier que nous sommes le 3 Février et que notre Vic fête ses 22 ans !  On te souhaite plein de bonheur et de courage pour continuer cette superbe aventure, 22 more parotas for you ;) !


Jean Baptiste ( la jib ), Elric ( rikou ), Romain ( caillou ), Martin ( La caille )

Le reste des photos par ici !